Tolérance ou Déviance ?

La tolérance est certes un devoir pour toute civilisation qui se prétend évoluée. La tolérance c’est en effet d’offrir aux minorités une protection et une garantie de libre existence. Mais ici, il s’agit d’une véritable « apologie des minorités », dans le seul but de déstabiliser les racines culturelles et sociale de la majorité d’un peuple. Plus grave encore … on constate une véritable « union sacrée » entre minorités, afin de renforcer mutuellement leurs pouvoirs, et d’imposer ainsi leurs choix à la majorité au travers d’un « Lobbying » très organisé… c’est notamment le cas entre les plus virulentes des féministes et les plus radicaux militants gays. 

Concernant les « Activistes Gays », comme les « féministes managériales » : leurs reproductions passera bientôt par l’achat d’enfants « bibs en main », et qui auront été portés par des « ventres loués ».  De la sorte, il y aura dans le futur deux classes de gens : ceux qui acquiereront la parentalité comme un « plus » dans une vie centrée sur eux même, et ceux qui, ne pouvant se nourrir, seront condamnés à enfanter pour survivre. ….. Inimaginable ? ..  Pas tant que cela, car c’est déjà le cas, sans être une pratique officielle, au travers du mécanisme d’ « abandon-adoption ». 

Les valeurs séculaires autour desquelles notre civilisation s’est bâtie, vont être détruites …. pour le plus grand plaisir d’ailleurs, des fondamentalistes hébreux et musulmans pour lesquels nous seront alors la démonstration vivante que leurs croyances « bornées et aliénantes » sont la « seule véritable voie » pour l’humanité. Si l’évolution humaine doit passer par l’homosexualité ou l’obscurantisme …. Je serais alors très fier, dans ce cas, d’être qualifié de rétrograde et de raciste ! 

Quelques exemples pour illustrer ces propos : 

Paris 26 Juin 2010 : La « Gay pride » … Qui peut ignorer le pouvoir de ces gens qui, ne pouvant avoir d’enfants, disposent d’un grand pouvoir d’achat et d’une grande « disponibilité sociale », Les politiques sont séduits par cette « énergie », ainsi que les « lobbies féministes radicaux » qui ne rêvent  que d’éradiquer définitivement ce qu’elles qualifient  « d’homme dominateur » … Les deux camps se servant d’ailleurs des éternelles recettes culpabilisantes de « l’inégalité et des violences » (Certes existantes mais marginales). Pourquoi ne pas envisager dans ce sens des cours d’éducation homosexuelle au lycée …. Apres tout, on en est pas si loin que cela (voir extrait d’article à la fin de cet édito). 

Vendredi 16 Juillet … Grande avancée dans la tolérance sociale … enfin l’Argentine a adopté une loi régularisant le mariage homosexuel …. Mais ce n’est pas fini … le « combat continue ». Petite aparté aux militants d’act’up et autres internationaux des « GLT » : il ne vous reste plus qu’à tenter la même chose à Jérusalem et à Ryad ….là nous serions vraiment très admiratifs ! 

Samedi 17 Juillet sur NRJ … « La folle route vers saint tropez », une émission mettant en scène ceux que l’on surnomme « les deux plus célèbres jet-setters français »  Quel beau spectacle en effet que de voir cette si belle entente et cette idylle si parfaite entre ces deux « folles », dont on ne cesse de faire la promotion dans le microcosme parisien: Magloire et Mac doom …. Les nouveaux modèles offerts par les medias à notre jeunesse. 

 Quelques articles complémentaires

  Le lobby homosexuel à l’école  ou comment la lutte contre l’homophobie devient une arme de promotion de « l’homophilie ». . .

La série TV "Samantha Oops": Un exemple significatif d'actions de normalisation culturelle et sociale de l'homosexualité, auprès des plus jeunes

Pour comprendre les enjeux :

 Par une circulaire du 4 avril 2008, le ministre de l’Education nationale, Xavier Darcos, avait indiqué que l’école contribuerait à la lutte contre l’homophobie. Dans une interview accordée au quotidien Libération, le ministre parlait d’ « omerta sur l’homophobie », disant que la faiblesse et la baisse des chiffres des violences homophobes (passés de 0,6% de septembre-novembre 2007 à 0,3% à décembre-février 2008) ne pouvaient dissimuler l’ambiance préjudiciable aux personnes homosexuelles. Parallèlement, le ministre de l’Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, annonçait une même politique dans les universités et les grandes écoles. Mme Pécresse a demandé à l’association homosexuelle GayLib de lui soumettre un plan de lutte contre l’homophobie.

M. Darcos a rendu systématique l’affichage de la ligne Azur pour les lycéens se questionnant sur leur orientation sexuelle(1) et décidé la mise à disposition des élèves d’une brochure intitulée « Homophobie savoir et réagir ». Par le biais de la directive du 4 avril, le Gouvernement a anticipé les revendications quant à l’école formulées par les lobbies homosexuels, lors de leur traditionnelle Gay pride. Il s’agit également d’une prise en compte de l’orientation donnée par la Commission européenne à la lutte contre les discriminations homophobes non plus seulement sur les lieux de travail ou à l’embauche mais de manière plus universelle. La Commission prépare en effet une directive en la matière mettant l’homophobie au même niveau que le racisme(2).

Une culpabilisation par les accusations d’homophobie

L’homophobie peut avoir des conséquences dramatiques et il est indéniable que des personnes homosexuelles souffrent de moqueries et de violences. Les différentes formes de violence sont à dénoncer, car les personnes homosexuelles méritent autant le respect que toute autre personne ! Néanmoins, il faut se garder de condamner le refus de voir l’homosexualité comme un monde de vie normal. Le respect n’est pas la satisfaction de toutes les exigences. La prétention du lobby gay d’ériger un comportement en norme équivalente à l’hétérosexualité relève de la pure volonté affabulatoire de personnes disant représenter un groupe. Les personnes homosexuelles méritent le respect et la compassion, mais ce respect ne saurait se transformer en approbation ou en caution d’exigences comme par exemple la censure de tout propos jugé homophobe par les seuls acteurs de ces groupes.

Par une dialectique conceptualisant une idéologie intolérante, l’homophobie est définie comme la haine des personnes homosexuelles(3). Il s’agit d’un concept inventé par le lobby gay et le choix nom n’est pas anodin. Son utilisation encore moins, car elle sert systématiquement de repoussoir aux arguments de ceux qui refusent les revendications homosexuelles. Toute critique du mode de vie, par exemple communautariste, de certaines personnes homosexuelles, ou le refus d’accéder à leurs exigences (telles que le droit à l’adoption) est assimilée à une manifestation de haine. Partant de cette définition, tout débat ne peut être que tronqué. L’émergence même d’un débat est contestée, ce qui permet aux associations homosexuelles de réclamer qu’on leur ouvre les portes des établissements scolaires.

Il ne saurait être légitimement question de permettre au lobby gay d’intervenir dans les écoles pour réorienter le développement psychosexuel de l’enfant(4) à des fins de concordance sociale. Il y a lieu de se demander si cette réorientation vise à seulement faire reculer l’homophobie, réelle ou supposée, ou si le but n’est pas de proposer l’homosexualité comme une alternative équivalente. L’homosexualité est présentée comme une identité, ce que reprend l’identifiant de la ligne Azur alors qu’il y a surtout un comportement. Refuser cette identité équivaudrait alors au racisme puisqu’une race n’est pas un comportement mais un élément d’identité. De ce fait, on ne pourrait pas non plus critiquer d’autres états comme l’homosexualité. 

 

Suite sur le site du comite protestant évangélique pour la dignité humaine  …..  

Le lobby au cœur des ministères . . . .  

Le Quai d’Orsay vient de voir naître sa première association LGBT. L’Association des Lesbiennes et Gays du quai d’Orsay (ALGO), association LGBT des agents du Ministère des Affaires étrangères et européennes et de leurs ami(e)s, a déposé ses statuts le 30 juillet 2007. (Association déclarée No : W751182478, Voir JO)  

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